Après Arkham Asylum, City, et Origins, Batman refait son retour, cette fois-ci dans Arkham Knight. La saga Arkham à su imposé son style un matière de super-héros vidéoludiques. C’était donc, avec impatience que nous attendions avec impatience, le dernier volet de la saga de . Rocksteady qui vient clore l’histoire de l’homme chauve-souris.
Fiche technique :
Éditeur : Warner Interactive
Développeur : Rocksteady
Type : Action / Aventure
Sortie France : 14 octobre 2014
Classification : Déconseillé aux ? ans
Existe sur :
PS4 XboxONE PC
Trailer :
Test :
Dans Batman Arkham Knight, les événements se déroule après ceux d’Arkham City. Le Chevalier Noir va de nouveau errer dans un Gotham sombre, ou l’Épouvantail à mis la ville en terreur et à fait fuir la population. Alors que vaut cette nouvelle histoire ? Difficile de juger puisque tout dépendra de vous et de vos connaissances sur le Chevalier Noir.
Les fans au coeur de la création du scénario ?
Ce que l’on voit dans ce Arkham Knight, ce que nous sommes au coeur de la ville, comme si nous y étions. Ce qui est un très bon point pour Rocksteady, cependant cette sensation se perd rapidement, puisque le studio, s’est attaché à utiliser l’un des arcs les plus passionnants de la vie du Dark Knight pour son jeu. Ainsi, si vous pensiez émettre des hypothèses sur l’identité de l’Arkham Knight, sa ne sera pas le cas puisque le studio à préférer rajouter quelques scènes et autres passages marquants afin de nous amener à une révélation finale qui perd de sa superbe. Ce qui peut décevoir de nombreux, puisqu’il seront comment l’histoire commence et comment elle se fini.
On pourra néanmoins compter sur l’Epouvantail pour apporter ce petit plus scénaristiques même si ici, c’est plutôt raté vu que sa présence reste anecdotique alors qu’à l’inverse son plan diabolique est mis en avant. On peut dire la même chose du Joker qui est mort à la fin d’Arkham City, mais qui est plus présent dans ce Knight. Comment ? Par le biais d’hallucinations que possède Batman, et que vous aurez à souffrir durant ces vingt heures de jeu. On peut dire que l’histoire d’Arkham Knight, est bonne tout en étant décevante, que se ce soit pour les joueurs lambda que les fans, surtout lorsqu’on le sait l’importance de la révélation finale sur la vie de Bruce Wayne.
La beauté de Gotham City
Si on met de côté l’histoire, on remarque que c’est la ville de Gotham qui fait le plus d’effet. En effet, le studio Anglais, nous à régaler avec ce Gotham City au niveau de son design. La ville ouverte et gorgé de détails plus beau les uns que les autres. Pluies glacial, éclair et vent s’incorpore parfaitement dans cette belle ville sombre. Ainsi découvrir cette immense terrain de jeu, que se soit par les routes ou les air s’avère jouissif, même si vous constaterez que les rues seront bien vides. Ce que l’on peut dire c’est qu’avec l’histoire principale et les multiples quêtes annexes les fans d’exploration auront de quoi faire.
Et sur ce point, les scénaristes ont mis le paquets sur une aventure principale expurgée de combats de boss, ces derniers étant principalement dévolus aux objectifs secondaires qui vous permettront de rencontrer Double Face, Deathstroke, Man-Bat, le Pingouin et bien d’autres. Tout cela pour ramener le calme à Gotham City.
Des nouveautés qui peuvent nuire aux jeux ?
Après le graphisme de Gotham City, passons aux nouveautés. Et la nouveauté principale de Knight est l’apparition de la Batmobile, que vous pourrez améliorer en orientant son évolution lorsque Lucius Fox nous le proposera. Améliorations des armes ? Ajouts ? Ce sera comme bon vous semble. On pouvait donc s’attendre avec cette nouveauté une apparition importante de l’engin, dans l’histoire mais pas à ce point-là. En effet, le jeu semble s’être conçu autour de la Batmobile. Cela peut se traduire par l’immensité de la ville avec ces routes plus larges qui vous permettent de vous déplacer par la route. Vous pourrez l’appeler grâce à un simple bouton afin de vous rendre à certains objectifs et de les réaliser. Si, la conduite semble arcade et que le fait de détruire les environnements peut amuser, on se lassera très vite de l’utilisation exagérée de la Batmobile. Tout est fait pour que vous utilisez le véhicule.
Un travail toujours aussi bien fait
Même si la star de ce jeu est la Batmobile, on remarque que le studio s’est comme même attardé sur le gameplay du jeu en y apportant de petites touches. Tout d’abord sur le système de combat free flow qui devient ici plus dynamique grâce à l’utilisation de l’élimination environnementale, des contres lancés ou du combat en duo. Puis, par des phases d’enquêtes sur les scènes de crime issues de Batman Arkham Origins. Vous devrez à des moments, rembobiner et accélérer une scène pour trouver ce qu’il s’y est passé. Dans le même style le studio a également inclus une analyse d’images mais je vous laisse le découvrir par vous même.
Enfin, pour finir les attaques par intimidation permettront de surprendre les adversaires pour éliminer plusieurs d’entre eux en un temps record. Il suffira ici éliminer un premier ennemi puis de choisir rapidement un autre adversaire via le joystick droit afin que Batman l’attaque. Cela vous permettra de pouvoir vous infiltrer très rapidement sans prendre de dommage. Ceci se traduira alors par des phases d’actions ralenti
UNE FIN DE TRILOGIE EN APOTHÉOSE ?
Si le studio à fait un travail particulièrement bien fait, on remarque que dans ce Arkham Knight, il y a un gout d’inachevé. En effet, malgré que le jeu à une immense duré de vie, et que suivre les événements de Batman semble plaisant. La mise en avant de la Batmobile, réduit cette effet de plaisir. ceci au détriment de ses personnages et par extension du joueur. Toutefois, malgré ces quelques défauts et imperfections, le jeu possède de nombreux points positifs et clos la trilogie de belle manière.
Conclusion
Si le troisième épisode de la trilogie du Dark Knight de Rocksteady aurait dû nous en mettre plein la vue, il fini comme simple excellent jeu. Bâti sur la Batmobile, au détriment du reste ce Dark Knight reste très bon et devrait satisfaire le grand nombre d’entre vous.
